Frédérique
Matonti, professeure de sciences politiques à la Sorbonne et
spécialiste des études de genre en politique, analyse ce « retour en
arrière ».
LE MONDE | 16.12.2016 à 10h04 • Mis à jour le 16.12.2016 à 10h54 | Par Sylvie Chayette
Finalement,
il y en aura une. Sauf surprise, Sylvia Pinel, présidente du Parti
radical, sera la seule femme à participer à la primaire de la gauche les
22 et 29 janvier prochain.
La question de la sécurité des frontières et de l'immigration est diversement perçue selon les pays : l'exemple de l'Espagne nous invite à y réfléchir.
Article en ligne du journal Publico daté du 14 décembre 2016.
Manuel Valls,en passe de quitter son poste de
Premier ministre,a signé un décret créant une inspection générale de la
justice.Celle-ci a pour but de contrôler le fonctionnement de toutes les
juridictions,dont la Cour de Cassation.L’indépendance de la justice
est-elle sérieusement remise en cause ?
Dominique Rousseau
: professeur de droit constitutionnel à Paris 1 Panthéon-Sorbonne,
ancien membre du Conseil Supérieur de la Magistrature de 2002 à 2006.
Le premier ministre, Bernard Cazeneuve, a justifié cette reconduction – qui devra être validée par le Parlement – par la persistance de la menace terroriste. Le Monde.fr avec Reuters | 10.12.2016 à 10h39
Le gouvernement français a proposé samedi 10 décembre de prolonger jusqu’au 15 juillet 2017 l’état d’urgence en vigueur depuis les attentats de novembre 2015, en raison de la persistance de la menace terroriste, a annoncé le premier ministre, Bernard Cazeneuve, à l’issue d’un conseil des ministres exceptionnel.
Le texte sera examiné mardi en séance à l’Assemblée nationale et au Sénat jeudi.
François Hollande avait annoncé à la mi-novembre vouloir prolonger ce dispositif, instauré après les attentats du 13 novembre 2015, jusqu’à l’élection présidentielle d’avril-mai en raison de la menace sécuritaire.
L’état d’urgence, qui devait prendre fin à la mi-janvier, a déjà été prolongé quatre fois et est loin de faire l’unanimité en France. La démission du gouvernement de Manuel Valls le 6 décembre implique sa caducité dans les quinze jours suivants, ce qui oblige les autorités à anticiper sa prolongation.
Ses détracteurs jugent cette mesure au mieux inefficace, au pire comme une atteinte aux droits fondamentaux.
En lien avec le cours de spécialité de sciences sociales et politiques, il serait intéressant de débattre de cette dernière phrase...